Je m'appelle Lucile Quillet, je suis journaliste, autrice, coach et conférencière. 
Je dédie mon travail à l'émancipation des femmes et la lutte contre les inégalités. 

Journaliste diplômée de Sciences Po Paris, je choisis mes sujets avec la conviction qu'ils doivent être entendus et débattus. À travers la condition des femmes, c'est toute une société que l'on peut lire.

J'ai commencé à étudier le travail des femmes sous le prisme "empowerment" : pour contrebalancer les biais genrés qui entretiennent les syndromes de la bonne élève, de l'impostrice et l'auto-censure, j'ai voulu apporter des conseils pratiques.

Alors responsable de la rubrique Carrière pour Madame Figaro, j'ai créé la chronique Madame Network, puis écrit l'ouvrage "Libre de prendre le pouvoir sur ma carrière, guide de coaching à destination des femmes qui veulent se réaliser au travail" (éd.Diateino). 

Désormais indépendante, j'écris sur le travail pour le magazine ELLE et suis experte du Lab de Welcome to the jungle, pour lequel je tiens la chronique BADASS. Depuis 2022, je suis également coach certifiée et diffuse cette approche féministe sur Instagram.

Mais être journaliste m'a donné une vision à 360° des problématiques liées au travail des femmes. Le coaching pro ne peut pas tout. En interrogeant des experts de la mixité, des sociologues mais surtout des femmes actives, j'ai pris conscience de l'impact du manque d'inclusivité, du sexisme, des discriminations sur leurs carrières... et de l'impact de la vie de couple et familiale.

Le travail des femmes, c'est aussi tous ces dons invisibles qu'elles font au sein de leur vie perso, au prix de leur indépendance économique. La mise en perspective de ce coût d'opportunité avec d'autres charges (esthétique, domestique, sexuelle...) m'a amené à écrire mon premier essai, paru en 2021, "Le prix à payer, ce que le couple hétéro coûte aux femmes" (éd.Les Liens qui libèrent). 

Je porte désormais ces sujets dans les médias, mais également lors de conférences et d'ateliers au sein  d'entreprises, de réseaux, d'institutions publiques et d'associations.

Faut-il vraiment choisir entre l'empowerment et la révolution ? J'ai la conviction que ces deux énergies sont complémentaires : il faut la synergie de l'échelle individuelle (coaching) et de l'échelle collective (changement sociétal et politique) pour rendre aux femmes la reconnaissance et les opportunités qu'elles méritent, sans plus attendre. 

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